Les enquêteurs n'ont plus qu'à chercher le départ de la fuite pour espérer remonter le ou les pirates. Autant dire que ce n'est pas gagné.
Si les escrocs ont de la bouteille, les données bancaires ont d'abord été revendues sur Internet à des complices qui se chargent de blanchir l'argent. Autant dire que certaines techniques de piratage peuvent laisser pantois.
Dans le cas de Nicolas Sarkozy, nous ne connaissons pas exactement les sommes, mais la justice parle de petits montants. Dans ce cas, les pirates ont peut-être loués des serveurs, des noms de domaines pour d'autres escroqueries.
Des bandes se sont aussi organisées dans le commerce de données bancaires à destination de casinos ou de sites pour adultes afin d'acheter des comptes pour, soit les revendre, soit blanchir de l'argent.
Source et article complet : ZATAZ