Les pirates moissonnent les fichiers HTML en volant les comptes FTP puis utilisent les informations pour rediriger les victimes vers le serveur Tornado. Ce dernier recherche les vulnérabilités du navigateur employé et, s’il les détecte, injecte le malware.
Le spécialiste en insécurité Symantec dit que Tornado peut même fournir des statistiques particulièrement utiles aux pirates et qu’il serait développé à l’aide d’un business plan très solide.
Source de l'article : The Inquirer (FR)